Accusé par Noël Tshiani de détenir la nationalité italienne, les Juges de la Cour constitutionnelle n’avaient pas cet élément de la détention et utilisation d’un passeport autre que congolais par le candidat en plus des accusations portées à sa charge par l’intéressé au moment du procès de candidature. C’est le Gouvernement qui devrait chercher les éléments de preuves, parce que cette information de plusieurs nationalités de Katumbi circulait depuis longtemps sur les réseaux sociaux.
Défaillance de notre Gouvernement et de ses services.
Maïs avec ces nouveaux éléments de preuves de la nationalité Zambienne de Katumbi, la Cour doit être saisie en vertu de l’article 10 de la la électorale, soit sur requête du Ministre de la justice, après avoir retiré le certificat de nationalité de Katumbi de 2015 produit à la CENI et devant cette Cour, soit par un candidat Président de la République, en l’occurrence Noël TSHIANI.
La requête de Noël Tshani était bien fondée mais parce qu’il n’avait pas produit la preuve de la nationalité Italienne de l’accusé, juste une copie des réseaux sociaux du journal Jeune Afrique, alors que les avocats du défendeur avaient saisi le Maire de la ville de l’Italie qui aurait accordé cette nationalité, et ce dernier ayant démenti l’information donnée par Jeune Afrique, la Cour était désarmée.
Pour le cas de la Zambie, ce n’était pas connu au moment du contentieux.
C’est un élément nouveau qui intervient après la validation de sa candidature. Il peut être déchu jusqu’à avant l’élection, donc le 20 décembre 2023.
Il revient maintenant à l’Autorité compétente de saisir la Cour Constitutionnelle sur base de l’article 10 de loi électorale pour le déchoir de sa qualité du Candidat Prédident de la République. Cette décision sera notifiée à toutes les institutions de la République.
Après, il sera poursuivi au pénal pour usurpation de la nationalité congolaise, faux et usage de faux relatif à son certificat de nationalité qu’il avait sollicité et obtenu en 2015 concurremment à celui de la Zambie.
Je vous donne l’exemple de l’analyse d’un Congolais vivant aux USA,
Chers frères et soeurs, ceci devrait nous aider une fois et pour toujours au sujet de la nationalité de BARACK OBAMA. Lisons plus pour être mieux informés et mériter l’ estime qui devrait nous revenir.
En effet, oui le Père de Barack Obama est un Kenyan. Mais Barack Obama lui-même, qu’il soit son fils, ne l’ est pas, ni ne l’a jamais été. Lui, Barack Obama étant né sur le territoire américain, c’ est un AMERICAIN.
C’ est la constitution américaine qui le stipule. Il serait plus prudent de ne jamais avancer des arguments sans nous ressourcer au préalable. Il est vrai que l’ on voudrait dédouaner Soriano Ndagano alias Moïse Katumbi, le Zambien, qui n’ a rien de Congolais. Ces deux cas sont légalement différents. Soriano alias Moïse Katumbi, est né d’un père juif et d’ une mère zambienne. Toute personne désireuse peut être Congolaise par naturalisation relativement aux lois de la RDC. Un citoyen naturalisé ne saurait et ne devrait jamais avoir la prétention de briguer la magistrature suprême de ce pays. Ce fut, par exemple aux USA le cas de Schwarzenegger, ancien Gouverneur de la Californie, jeune garçon venu d’ Autriche, puis devenu un grand cinéaste. Il y a eu aussi Henryn Kissinger, ancien fameux et très populaire Secrétaire d’ Etat américain de nationalité germano-juive. On peut aussi ajouter le cas de Madeleine Orbright, Juive, Secrétaire d’ Etat americain. Tous ces très grands politiciens américains ne pouvaient prétendre de briguer la présidence des USA, sachant les limites fixées par la consitution des USA dans leurs cas. C’ est qui n’ est pas le cas de Barack Obama. Le mafieux Soriano Ndagano alias Moïse Katumbi, le Zambien Italien Juif ne devrait pas constituer un cas particulier ici jusqu’à perturber notre attention. Il est libre de vivre et de travailler en RDC comme tous les étrangers, mais en respectant les lois de notre pays, la RDC que nous allons défendre et protéger contre ses prédateurs et ses fossoyeurs de tout genre.
(Prof. Ikanga Ngozi za Kyongo, Ph.D. /USA).
Voilà ce qui est bien dit.
Les juristes sont de cet avis s’agissant du cas de candidat malheureux. On ne peut pas le laisser competir à l’élection présidentielle, parce qu’un élément nouveau vient établir qu’il serait Zambien, après la validation de sa candidature.
Le laisser participer à l’élection présidentielle signifierait qu’il est Congolais d’origine. Et l’arrêt de la Cour Constitutionnelle qu’il détient sera ou a été signifié aux responsables des nos installations et publié au journal officiel.
Même si la majorité des proches du Chef de l’État s’opposeraient de saisir la Cour Constitutionnelle pour exiger la déchéance de sa candidature conformément à l’article 10 de la loi électorale, estimant que l’intéressé ne va pas gagner, selon certaines sources, le Ministre ayant la justice dans ses attributions peut néanmoins instruire le Procureur Général près la Cour de cassation, afin d’ouvrir une information judiciaire sur la nationalité Zambienne de Kutumbi. Dans ce cas l’opinion nationale sera apaisée.
« Merci beaucoup pour cette opportunité qui m’est accordée pour donner mon point de vue sur l’actualité de l’heure » Bonkafo Efofa Ikelemba Frank Papy, Conseiller Principal au Collège Santé et Bien-être du Président de la République