Le président congolais, qui a pris la tête de l’Union africaine en février, doit accueillir un premier round de dialogue entre Le Caire, Khartoum et Addis-Abeba autour du conflit qui les oppose sur le barrage de la Renaissance.
C’est l’une des principales crises diplomatiques à laquelle Félix Tshisekedi a promis de s’atteler lors de sa présidence de l’Union africaine (UA).
Jeune Afrique