Les faits se déroulent le 23 Août dernier quand Joël Kubala, 20 ans, étudiant à l’université Panafricaine ést arrêté devant la parcelle où il vivait alors qu’il lessivait. Des hommes se présentant comme agent se réclamant être de la police en tenue civile.
Sans autre forme de procès, ils le prennent manu militari à une destination alors que sa maman se lance à leur poursuite. Cette dernière est menacée par ces agents qui lui brandissent des armes en lui disant qu’ils allaient tirer si elle s’obstinait à les suivre. Prise de peur, elle rebrousse chemin. Le petit est acheminé.
C’est le lendemain que la maman parvient à identifier le lieu où Joël avait été amené, dans les les locaux de la Police criminelle IPCRIM sur 24 novembre. Tout de suite sa maman s’y rend avec de quoi manger. Une fois sur place,elle tente d’en savoir plus,mais en vain,il lui ait exigé de payer 10$ pour voir son propre fils. Sur elle, elle n’avait que 5000Fc de transport de retour, ils ont quand-même pris cet argent.
Elle vue son fils, torse une, en petite culotte, affaibli, des marques de tortures sur le corps. Aucune information sur le motif de sa détention. Ce n’est qu’après quelle sera informée qu’après audition de l’OPJ, son fils etair innocent,et qu’il fallait qu’elle se rende au poste de police de son district à Mont Ngafula pour finaliser le processus de sa libération.
Elle s’y est rendue. Deux agents de police l’ont reçu dans un bar de la place lui demandant 300$ pour le faire libérer. Elle n’avait que 150$ sur elle. Entre-temps, ces deniers savaient déjà que Joël etaor décédé. Elle leur a remis les 150$, et c’est là qu’ils vont lui informer du décès de Joël qui aurait fait une crise. Ils l’ont chassé comme une mal propre.
Ce n’est que quelques jours après qu’elle a appris que le corps de son fild se trouvait à la morgue de Mama Yemo. Depuis lors plus rien, aucune information quant aux mobiles de sa mort.
Cette pauvre maman est sans défense, toutes les démarches entreprises n’aboutissent pas, depuis lors le corps de Joel est la morgue.
Steeve Mbuyi (journaliste local)
C’est un regret de voir ceux qui sont censés nous protéger nous tue , devons-nous toujours avoir une confiance aveugle à cette police qui ne respecte pas la procédure
Ces sont des bandits, ils sont sans cœur
Quelle douleur !!! Quel sabotage !!! Quelle justice !!! Quel pays ça !!!
Ah mon Dieu !!!!
Triste mon pays