« A ce jour, les féministes contemporains sont unanimes sur le caractère dynamique des droits des femmes , d’autant plus qu’on ne peut plus parler des droits des femmes et de leurs places dans le compartiment de la vie sociale et professionnelle comme on le faisait il y a 20 ans. Une première page a été écrite en 1977, reste à consolider les droits de la femme mais surtout à atteindre l’horizon d’une égalité concrète ».
« Notre pays a réalisé des progrès significatifs en matière de promotion et de protection des droits de la femme grâce à la politique sectorielle du Président de la République. C’est aussi l’occasion de saluer sa determination opiniâtre à enrayer les foyers de conflits dans l’Est du pays aux fins de permettre à la femme de jouir pleinement de ses droits subjectifs ».
« Aussi, j’encourage toutes ces braves femmes de l’Est et je reste engagée à prier pour que la paix y soit rapidement restaurée. À l’échelle individuelle, le 08 mars m’offre l’occasion d’évaluer les actions ainsi que les projections de l’association « C’EST MAINTENANT » que je préside depuis 5ans et laquelle milite en faveur de l’émancipation de la femme . Il est évident que beaucoup de femmes tardent à prendre conscience de la nécessité d’arracher leur droit à l’autonomie et l’égalité afin d’affirmer leur utilité dans la société. »
« Le défi majeur quant à ce, demeure indubitablement celui de leur autonomie économique, laquelle s’explique dans la grande majorité des cas par le manque d’une activité professionnelle. Je prie donc à la femme congolaise d’oser, car elle est dotée de tous les atouts pour contribuer à la paix et à l’éclosion de notre pays.»